NOTRE
Historie
NOTRE
Histoire
Depuis la première moitié du XXe siècle, ce lieu emblématique est imprégné de mémoire et d’histoire. Voramar est né en 1930 et a été témoin de maints événements. De bains à restaurant, de restaurant à hôtel, hôpital militaire et même plateau de tournage. Aujourd’hui, il continue de s’adapter à son temps, changeant, s’améliorant et écrivant sa propre histoire, dont chacun d’entre nous fait désormais partie.
1887
LA PREMIÈRE VILLA DE BENICÀSSIM
Joaquín Coloma Grau, ingénieur chargé de la construction du chemin de fer du Nord, décide de construire une villa où sa femme puisse se reposer pendant les travaux. La villa fut appelée « Villa Pilar », car elle fut construite avec les 15 000 pesetas de dot de Mme. Pilar Forts Mas.
1930
INAUGURATION DU RESTAURANTE VORAMAR
Juan Pallarés Picón, un homme d’affaires local, avait discuté avec d’autres vacanciers de l’opportunité de créer un club social où ils pourraient se rencontrer. Faute d’accord, il se lance seul dans le projet et présente en 1929 la demande de licence pour la construction d’un établissement de bains et d’un café-restaurant sur la plage de Las Villas de Benicàssim. En mai 1931, une extension est demandée pour construire un hôtel et une terrasse avancée face à la mer.
1933
DE RESTAURANT
À HÔTEL
En 1933 est inauguré le premier hôtel de la province : L’hôtel Voramar
1936 - 1939
INAUGURATION DU RESTAURANTE VORAMAR
Le début de la guerre civile à l’été 1936 entraîne l’abandon des villas par leurs propriétaires, effrayés par la gravité des événements. En raison de ses excellentes voies de communication et des bonnes conditions climatiques et géographiques, les autorités militaires confisquent toutes les villas et louent l’hôtel. En mai 1937, un grand complexe hospitalier y est établi pour soigner les soldats des Brigades Internationales, principalement ceux blessés à la bataille de Teruel. Un an plus tard, la prise de Benicàssim par les nationalistes fait que le Voramar change de mains mais pas d’utilisation : il restera un hôpital militaire jusqu’à la fin de la guerre.
1940 - 1950
L'APRÈS-GUERRE
Pendant la longue période d’après-guerre, Voramar devient une résidence de l’Auxilio Social et plus tard de la Sección Femenina. Entre-temps, Benicàssim récupère peu à peu ses habitués et, dans les années cinquante, la ville récupère sa vocation de destination de vacances d’été. Au cours de cette décennie, la famille Pallarés reprend la gestion de l’hôtel, avec à sa tête Juan Pallarés Soldevilla, fils du fondateur.
LES ANNÉES 50 ET 60
La fin des années 50 et toute la décennie des années 60 connaissent l’une des plus grandes révolutions sociales du siècle dernier : le tourisme de masse. Benicàssim cesse alors d’être un lieu de repos exclusif pour les valenciens et les habitants de Castelló, pour accueillir un flux croissant d’étrangers qui visitent l’Espagne à la recherche de son soleil, de ses plages et de ses bas prix… Ce sont des années de développement imparable sur toute la côte. C’est le début de la construction d’appartements, tandis que de nouveaux hôtels sont créés et les hôtels existants agrandissent leurs installations.
1967
TROIS NOUVEAUX ÉTAGES
Après la mort de Juan Pallarés Soldevilla, son fils, Juan Pallarés Tena, donne à la direction de l’hôtel une nouvelle impulsion en accord avec les temps nouveaux, en décidant d’agrandir les installations pour faire face à l’augmentation de la demande. Les travaux sont réalisés en un temps record, puisque l’hôtel ferme à la fin de la saison estivale et qu’au mois de juin suivant, les habitués peuvent y revenir comme chaque année.
DES ANNÉES 70
AUX ANNÉES 90
Pendant cette période, un changement se produit dans l’origine des visiteurs de Benicàssim. Les touristes étrangers cèdent la place au tourisme national et la construction d’hôtels stagne, les vacanciers occupant principalement leurs propres appartements ou des appartements en location. Le développement urbain transforme le paysage traditionnel, rendant pratiquement méconnaissables les plus anciennes photos de Benicàssim.
21e SIÈCLE
À partir des années 1990, Benicàssim s’efforce d’améliorer son image touristique. La création de la promenade au bord de mer, l’amélioration des plages et la construction d’installations sportives ne sont que quelques exemples des changements destinés à répondre aux demandes de nos visiteurs. Dans le secteur du tourisme, la rénovation de l’offre est une priorité permanente pour offrir le meilleur service au public. Nos clients exigent un service de la plus haute qualité et des installations modernes.
La direction actuelle du Voramar poursuit une politique d’amélioration permanente en renouvelant complètement ses installations axées sur la durabilité et l’économie du bien commun. L’hôtel est également titulaire de la Certification de Qualité pour Entreprises Touristiques.
NOUS SOMES
PRÉSENT ET FUTUR
Notre engagement social repose sur un dialogue avec nos différents partenaires, à travers des politiques de ressources humaines favorisant les intérêts de tous les employés, le choix de fournisseurs durables et l’affectation d’une partie de nos bénéfices à des projets d’action sociale, entre autres. Dans le cadre du plan de durabilité, nous avons élaboré cinq lignes d’action qui nous permettront d’améliorer notre engagement en faveur de la durabilité année après année.
Réduction de l’utilisation et de la consommation des ressources naturelles, par le biais de plans stratégiques qui permettent de sélectionner des matériaux plus respectueux de l’environnement. Depuis des années, nous privilégions la collaboration avec des fournisseurs qui ne parcourent pas de kilomètres, afin de promouvoir le respect de l’environnement.
Minimisation de la production de déchets, par le choix de produits avec un minimum d’emballage et par le recyclage et la revalorisation des déchets. En outre, nous séparons les déchets en vue de leur recyclage ultérieur.
Réduction de notre empreinte carbone, en la mesurant chaque année et en établissant des plans de réduction des émissions. Entre autres mesures, nous utilisons des voitures électriques et disposons de panneaux solaires et photovoltaïques.
Engagement envers la société par le biais d’un dialogue avec nos différents partenaires. À travers des politiques de ressources humaines favorisant les intérêts de tous les employés, le choix de fournisseurs durables et l’affectation d’une partie de nos bénéfices à des projets d’action sociale, entre autres.
NOUS SOMES
PRÉSENT ET FUTUR
Notre engagement social repose sur un dialogue avec nos différents partenaires, à travers des politiques de ressources humaines favorisant les intérêts de tous les employés, le choix de fournisseurs durables et l’affectation d’une partie de nos bénéfices à des projets d’action sociale, entre autres. Dans le cadre du plan de durabilité, nous avons élaboré cinq lignes d’action qui nous permettront d’améliorer notre engagement en faveur de la durabilité année après année.
Réduction de l’utilisation et de la consommation des ressources naturelles, par le biais de plans stratégiques qui permettent de sélectionner des matériaux plus respectueux de l’environnement. Depuis quelques années, nous travaillons nos propres jardins de manière respectueuse de l’environnement.
Réduction de la consommation d’énergie par l’adoption de politiques d’efficacité énergétique et la sensibilisation de l’ensemble de notre personnel aux bonnes pratiques.
Minimisation de la production de déchets, par le choix de produits avec un minimum d’emballage et par le recyclage et la revalorisation des déchets. En outre, nous séparons les déchets en vue de leur recyclage ultérieur.
Réduction de notre empreinte carbone, en la mesurant chaque année et en établissant des plans de réduction des émissions. Entre autres mesures, nous utilisons des voitures électriques et disposons de panneaux solaires et photovoltaïques.
Engagement envers la société par le biais d’un dialogue avec nos différents partenaires. À travers des politiques de ressources humaines favorisant les intérêts de tous les employés, le choix de fournisseurs durables et l’affectation d’une partie de nos bénéfices à des projets d’action sociale, entre autres.